Deux candidats seront en lice pour le fauteuil du patron du volley-ball Ivoirien. C’est ce qui ressort de la récente réunion de la commission électorale de l’instance fédérale. Après les contrôles d’éligibilité, Coulibaly Francis fera face à Wadja Pascal lors de l’assemblée générale élective du 30 janvier 2021.
Les choses se précisent dans la course à la succession de Koné Sanga
Réunis depuis le vendredi dernier, les membres de la commission électorale de la Fédération Ivoirienne de Volleyball (FIVVB) ont validé les dossiers de candidature de deux prétendants. Il s’agissait de Coulibaly Francis et Wadja Pascal.
Ces derniers rechercheront donc les suffrages des clubs affiliées à l’instance nationale lors de la prochaine AGE prévue le samedi 30 janvier prochain. Après huit (08) ans passés à la tête de la Fédération, Koné Sanga passera le témoin à l’un de ces deux (02) au soir de ces assises.
Bientôt l’AG de la fédération un candidat réunificateur père de tout les clubs, à soutenir pour un nouveau souffle un changement dans notre petite famille le volley-ball.
Le changement c’est maintenant 🏐Publiée par Club Omnisports Descartes Volley-ball sur Mercredi 6 janvier 2021
La présentation des deux concurrents
Wadja Pascal est un ancien joueur qui a évolué notamment au Red Star et à l’Africa Sports. Il a ensuite été dirigeant des Vert et Rouge et de Colombe VBC. Depuis 5 ans, il est l’un des vice-Présidents de la FIVVB. Sa candidature a été coptée par l’Asec Mimosas. « Je veux, à ma manière, révolutionner le volleyball Ivoirien », a-t-il confié quelques jours plutôt, à SuperSport.
De son côté, Coulibaly Francis est le patron du Club Omnisports Descartes, un club de l’élite Ivoirienne. D’après SuperSport, l’idée de briguer la présidence de l’instance dirigeante du volleyball Ivoirien a germé chez lui depuis l’année dernière. Il entend apporter une nouvelle vision au volleyball Ivoirien : « Il y a des acquis. Cependant, beaucoup de choses manquent aujourd’hui au volleyball Ivoirien. L’accent sera mis sur plusieurs choses dont la vulgarisation », a rapporté SuperSport.