UNESCO continue de former les experts sur le sport

Par Prince de GBA

Durant 3 jours, le Centre Sportif Culturel et des TIC Ivoiro-Coréen (CSCTICAO) a été le centre de formation et de certification sur les valeurs, l’éthique et l’intégrité dans le sport. Une formation destinée aux experts et formateurs.

Du 6 au 9 octobre, la Politique de l’Éthique, des Valeurs et de l’Intégrité dans le Sport de Côte d’Ivoire (PEVIS-CI) a initié un programme structuré de formation et de certification destiné à promouvoir l’éthique, l’intégrité et la qualité dans l’action publique et sociétale. Ce programme piloté par l’UNESCO est une réponse structurante aux priorités de la Convention internationale contre le dopage dans le sport. Au-delà du champ sportif, il peut toucher l’ensemble des secteurs stratégiques. Les objectifs visés sont :
– Développer les compétences pédagogiques et scientifiques nécessaires pour former des cadres et acteurs nationaux.
– Mettre en place un dispositif académique certifiant, aligné sur les standards internationaux.
– Favoriser l’intégration de l’éthique dans les pratiques institutionnelles.
– Contribuer à la création d’un réseau d’experts et de praticiens engagés.

C’est donc une première génération d’experts formée par le pays qui a bénéficié du Programme de formation et de certification sur les valeurs, l’éthique, l’intégrité et la qualité (PEVIS-PEVIQ). Une formation distillée par messieurs Marcellin Dally, le Pr Lazare Poamé, tous 2 de l’UNESCO ainsi que Dr Mallorie Trannois, Pr Anzoumana Ouattara, Dr Ousmane Zina, Dr Christophe, Henri Bah, Marcel Kouassi, Sylvestre Kouassi et Léon Rivière Komenan. Des interventions du Directeur général du CSCTICAO, Patrice Remarck, et du Directeur général de l’INJS, Habib Sanogo, sont venues souligner l’importance de ce programme.
Les prochaines journées permettront d’approfondir ces réflexions, notamment à travers un atelier pratique sur la bioéthique dans le sport et une session sur la méthodologie d’évaluation pédagogique dirigée. Des formations qui auront lieu à l’avenir dans d’autres lieux comme la Chaire de Bioéthique de l’UNESCO à Bouaké ou l’Institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS).

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