Éliminatoires Coupe du monde : 2 chocs au Palais ce soir

La fenêtre 3 des éliminatoires de la Coupe du monde s’ouvre ce vendredi 1er juillet en Côte d’Ivoire, Egypte et Rwanda. 2 chocs, à savoir République Centrafricaine – Guinée et Angola – Côte d’Ivoire, enflammeront le Palais des sports de Treichville sis dans le district d’Abidjan.

 

Le Syli entend doucher les derniers espoirs adverses

Ce vendredi 1er juillet 2022, sous le coup de 16 heures GMT, la Guinée (3e, 4 points -22) et la République Centrafricaine (4e, 3 points -63) ouvriront le bal dans la poule C à l’occasion de la fenêtre 3 des éliminatoires du mondial. Cédric Mansaré et ses coéquipiers entendent doucher les derniers espoirs des Centrafricains. En effet, avec 0 victoire lors des 3 premières rencontres en Angola, la sélection de la République Centrafricaine est dos au mur. Elle a grandement besoin de victoire afin de se relancer dans la course aux 3 places qualificatives pour le second tour des éliminatoires.

Cependant, les Guinéens auront à cœur de s’imposer avant de se frotter aux 2 mastodontes que constituent la Côte d’Ivoire et l’Angola. Aussi, une victoire face aux Centrafricains leur permettra de sécuriser une éventuelle 3e place dans le groupe C. Au match aller, à Benguela, le Syli national avait gagné (76-71) face à cet adversaire.

 

Les Eléphants comptent faire un pas de plus vers la qualification

A 19 heures GMT, la tension montera d’un cran avec le duel au sommet entre la Côte d’Ivoire (1ère, 6 points +40) et l’Angola (2e, 5 points +45). Pour le capitaine Landry Edi et ses coéquipiers, il s’agira de venir à bout des géants Angolais pour faire un pas de plus vers la qualification pour le second tour des éliminatoires. Par ailleurs, une nouvelle victoire face à l’Angola pourra maximiser les chances des Eléphants de finir en tête de la poule C au terme du premier tour des éliminatoires. Dans le camp adverse, l’Angola voudra assouvir une vengeance. En effet, à domicile en novembre dernier, les Angolais s’étaient inclinés face aux Ivoiriens (56-57) au terme d’une rencontre épique.