« Quand on a des informations précises sur l’engouement que suscite la CAN dont l’organisation est prévue dans notre pays, on se rend compte d’une chose, beaucoup dans le monde sportif, sur toute la planète, envisage d’être en Côte d’Ivoire pour voir la CAN.»
En outre, en dehors du monde sportif, tous ceux qui veulent découvrir la Côte d’Ivoire envisagent d’être dans notre pays lors de l’organisation de cette CAN, qui a un enjeu qui va au-delà du football. Quand on sait que le Chef de l’Etat, malgré le poids des investissements qu’exige cette organisation, n’a pas hésité à donner les moyens nécessaires pour que nous puissions réussir cette organisation, alors, on tire une seule conclusion : l’enjeu est de taille.
C’est pourquoi, en organisant cette rencontre, nous visons à mettre en évidence tous les segments auxquels nous devons prêter une très grande attention pour ne rien oublier. Je vous demande, donc, de donner le meilleur de vous-même, parce qu’en voyant tous les visages ici réunis, ce sont des ténors qui sont dans l’organisation. Je dis bien des ténors ! Nous n’avons pas le droit d’oublier des détails qui feront la différence. C’est pourquoi, c’est vrai, vous avez élaboré votre architecture pour le travail qui sera conduit. Je pense que c’est Idriss qui va coordonner. Je suis venu avec une équipe de quatre ou cinq encadreurs qui seront autour de Idriss pour identifier, commission par commission, toutes les tâches avec un calendrier de mise en œuvre et les moyens qui accompagnent ce calendrier. Bien entendu, il y a une hypothèse de base que nous devons respecter : Pas un centime de plus ! On reste dans le budget et on fait toutes les tâches.
A l’impossible, nul n’est tenu. Si par extraordinaire, il y avait une tâche qu’on aurait oublié tous et qu’on doit valider pendant le séminaire qui s’avère indispensable pour l’équilibre de notre ambition, on pourrait regarder. Mais de grâce, pas un franc de plus ! Je compte sur vous. Je ne pourrai pas malheureusement écouter toutes les présentations extraordinaires de ces personnes compétentes.
Mais ne vous en faites pas, je suis de très près tous les détails de vos interventions, de vos exposés, pour que vous et moi, on parle le même langage. Je voudrais terminer en disant, que chacun de nous engage sa responsabilité, son image et sa réputation. Avec les grands directeurs que je vois, les experts que je vois. Ce n’est pas la peine de gâter notre nom. Pour aller accueillir des gens, vous allez à l’aéroport et puis les cars ne sont pas là. On n’a pas prévu de chapiteau pour accueillir. Et les gens se retrouvent en train de chercher leurs bagages. Ça ferait désordre. Je vous demande pardon. Vous êtes très respecté que cela aille jusqu’au dernier qui va quitter la Côte d’Ivoire pour regagner son pays.
Pour terminer, je vous confie le premier de tous ceux qui viennent pour la CAN à l’aéroport. Je vous confie le dernier qui est venu pour la CAN qui va quitter la Côte d’Ivoire pour regagner son pays de sorte à ce qu’entre les deux, tous les ingrédients qui composent son séjour soient pris en charge, suivis et réalisés à la perfection par le COCAN.
Vous en êtes capable. Je le sais ! Je vous remercie !