Au cours d’une conférence organisée ce samedi 21 aout à la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), le Réseau International Francophone pour le Sport (RIFS) a fait le bilan de ses activités après 2 ans.

 


La francophonie au contact des populations
Né le 20 mars 2020 en Côte d’Ivoire, le RIFS est une organisation institutionnelle membre de la francophonie. Le réseau est le volet opérationnel de la Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la francophonie (CONFEJES) qui est une coalition des ministères en charge de la jeunesse et des sports. Le RIFS est l’organe proche des populations dans sa pratique du sport. Il vient pour faire la promotion des valeurs de la francophonie dans le domaine du sport. Le réseau bénéficie de l’aval de la commission nationale de la Francophonie.
Le RIFS qui avait pour tutelle le ministère de la culture et de la Francophonie est aujourd’hui adossé au ministère des médias et de la communication. Pour l’instant en activité uniquement en Côte d’Ivoire, le réseau a pour mission d’être présent dans les quatre-vingt-huit (88) pays de la Francophonie.

 


Le bilan des activités menées
Si la pandémie Covid 19 a bouleversé le plan triennal d’activité, le réseau a réussi à se rapprocher des sportifs et des populations à travers diverses activités au plan institutionnel et opérationnel.
Le réseau a ainsi scellé des partenariats avec des institutions comme : le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) pour la couverture médicale de ses activités. Le CNDH et l’Institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS) pour la formation des athlètes. Les ambassades du Cameroun et du Maroc pour l’expansion du réseau. Au niveau des populations, une caravane a sillonné les communes d’Attécoubé, Koumassi et Yopougon pour la promotion des disciplines sportives. Une journée scientifique de partages d’expériences à l’endroit des sportifs locaux s’est aussi tenue le 5 juin dernier. A cet effet, la seconde édition de « Sport et vie » aura lieu ce vendredi 27 à l’Agora de Koumassi.
Cette conférence fut animée par le président Anzian Justin, la seconde vice-présidente Josiane Tanoh Abinan et le secrétaire général, Alexandre Boko Kouassi.