Accueil Autres Sports Football Américain : Les premiers mots de Cédric Ouattara à Berlin

Football Américain : Les premiers mots de Cédric Ouattara à Berlin

par Prince de GBA

Transféré cette semaine à Berlin Thunder, l’Ivoirien s’est livré sur cette nouvelle aventure. Les premiers mots de Cédric Ouattara à Berlin.

Berlin Thunder pour retrouver son niveau

Allemand d’origine Ivoirienne, celui qui a débuté à Cologne Crocodiles en 2013 – 2014 a signé au Thunder en provenance de Verien Kiel Baltic. Interrogé par notre média, Cédric s’est exprimé à cœur ouvert : « Tout d’abord je tiens à remercier votre média « Le Kpakpato Sportif » pour l’honneur que vous me faites de vous intéresser à mon humble personne car honnêtement je ne m’y attendais pas. Jamais un site ou journal sportif ne s’est intéressé à moi et je me dis que c’est sûrement par ce que le Football Américain est un sport qui n’est pas vraiment connu en Côte d’Ivoire. »

 

La force Ivoirienne, c’est son surnom a donné les raisons de ce choix : « J’ai choisi ce club parce que depuis 3 à 4 ans maintenant pendant que je traversais d’énormes difficultés surtout physiques, ce club me suivait. Il m’atoujours accordé un grand intérêt et vu que désormais je vis à Berlin alors pour moi, il est impossible de signer dans un autre club que Berlin Thunder et en plus nous avons la même vision alors ce club est celui qu’il me faut pour relancer ma carrière. »

International Allemand ayant disputé la coupe du monde junior de Football Américain en 2014 au Koweit, Cédric n’oublie pas sa terre natale : « J’aimerais aussi dire à tous ces frères et sœurs jeunes comme moi ou plus âgés de toujours croire en eux et en leurs rêves. Je prends mon exemple je suis Ivoirien mais j’ai joué une coupe du monde pour l’Allemagne dans un sport qui n’est pas pratiqué dans mon pays. Il ne faut jamais abandonner. »

« La vie est faite d’obstacles et tous les habitants de la terre ont des obstacles dans leur domaine. Au sport les plus gros obstacles sont les moqueries, le manque de moyens financiers et surtout les blessures. Mais il faut toujours se relever et aller de l’avant car comme on le dit chez nous : découragement n’est pas Ivoirien ».

Vous pouvez également aimer