Cissé Nadège : ” Je continue à bosser pour atteindre le haut niveau ”

Arrivée en janvier en provenance de la Biélorussie, Cissé Nadège a contribué à la remontée immédiate de Saint-Étienne en première Division française, à deux journées de la fin. C’est avec joie qu’elle a accepté de nous raconter cette belle expérience.

 

 

Bonjour Nadège, comment as-tu vécu cette saison magnifique ?

Bonjour. Je vis très bien cette saison. Tout se passe très bien depuis mon arrivée. C’est vrai que les débuts furent difficiles. Je ne jouais pas beaucoup, puisque je suis venue trouver une équipe en place. Mais comme je l’ai dit, la saison se passe très bien, nous avons validé notre retour en Première Division, à deux journées de la fin. On souhaite maintenant remporter les deux matches restants pour finir championnes de la deuxième division. Pour me résumer, je vis une très belle saison.

Quel est le plus beau moment de ta saison ?

Le plus beau moment de ma saison ? bien je vais dire les plus beaux moments, la signature et la montée en première Division. Savoir qu’on fait partie d’un groupe de jeunes filles qui fait remonter un club dans l’élite, ça fait plaisir, en plus du palmarès.

Combien de matchs as-tu disputé depuis ton arrivée ?

Depuis mon arrivée j’ai pris part à 5 matches sur 9 possibles. Je n’ai pas beaucoup joué au début, comme je vous l’ai déjà dit, j’ai trouvé une équipe en place. Maintenant, il nous reste encore deux matches à jouer.

 

 

Quelle est la plus grande différence entre les matches Biélorusses et Français ?

Ici en France, toutes les équipes sont compétitives. Ici c’est un football porté vers l’avant et la langue française m’aide beaucoup dans la communication avec les coéquipières.

Qu’as-tu apporté comme plus-value à ton club depuis ton arrivée ?

J’ai apporté mon expérience acquise en ligue des champions que j’ai jouée dans un passé récent (avec le Dinamo Minsk, ndlr).

Ton mot de fin sur ta nouvelle vie

Concernant ma nouvelle vie, j’avoue qu’au début c’était difficile difficile, mais tout va bien maintenant. On a pas encore atteint l’objectif qu’on veut donc on continue à bosser pour atteindre le plus haut niveau.